Marie-Geneviève Masson

Forte d’une expérience de plus de 25 ans acquise initialement en litige commercial, puis en droit commercial et en gouvernance d’entreprise, Marie-Geneviève se spécialise en droit des affaires.

Elle agit régulièrement en renfort en entreprise comme conseillère juridique auprès de ses clients pour les accompagner dans la rédaction, la révision et la négociation d’ententes commerciales de tout acabit, telles que les contrats de services, de transport et de logistique, d’approvisionnement et de baux commerciaux. Elle conseille également les équipes de direction face à leurs enjeux et exigences de gouvernance d’entreprise.

Dans le cadre de sa pratique en litige, Marie-Geneviève agit en renfort en entreprise afin d’assurer la gestion des litiges. De plus, elle effectue des représentations devant les tribunaux civils et administratifs, notamment dans des litiges commerciaux et de responsabilité civile. Elle accompagne et conseille ses clients dans le cadre de dossiers d’enquêtes conduites par divers organismes de régulation dont l’Autorité des marchés financiers (AMF).

Reconnue pour sa rigueur et son professionnalisme, Marie-Geneviève utilise ses excellentes habiletés communicationnelles pour favoriser la collaboration dans ses dossiers, faisant preuve d’une grande disponibilité tant pour ses clients que ses collègues.

Marie-Geneviève a commencé sa carrière au sein des contentieux d’une entreprise pharmaceutique et d’une maison d’édition juridique.

Avant de se joindre à Delegatus, Marie-Geneviève a pratiqué le droit pendant 15 ans au sein du groupe Litige de Langlois avocats.

• Développé et implanté des processus, politiques et outils pour assurer la conformité réglementaire d’une grande entreprise québécoise œuvrant dans les transports face à la législation sur la protection des données personnelles (Loi 25).
• Agi comme avocate-conseil pour plusieurs entreprises œuvrant en droit de la santé, les soutenant dans leurs divers besoins commerciaux, incluant la rédaction, négociation et révision contractuelle.
• Gain de cause devant la Cour suprême du Canada, dans le cadre d’un litige entre actionnaires : Menillo c. Intramodal inc., 2016CSC51.
• Gain de cause devant la Cour supérieure du Québec, dans le cadre d’un recours en responsabilité civile de 22 millions de dollars institué à l’encontre d’un particulier tant en vertu du droit civil général qu’en vertu de la Loi sur les valeurs mobilières du Québec (LVMQ). Ce dossier soulevait des questions d’interprétation de la LVMQ qui n’avaient jamais été tranchées.
• Gain de cause dans le cadre des dossiers des révisions judiciaires du rapport de la Commission d’enquête sur le programme de commandites et les activités publicitaires (Commission Gomery).